Sunday 28 September 2014

Français : la trente-deuxième semaine

    D'entrée de jeu j'ai préparé une petite présentation qui a pour but de m'aider pendant l'examen oral. Cela me servira aussi en tant que plan de dissertation. Ainsi je sais au moins de quoi il me faut écrire. Mais tout s'est fini sur cela. Je me suis senti accablé de cette corvée et cela m'a vraiment paralysé. Je faisais de mon mieux pour écrire n'importe quelle chose de valoir mais cela n'a pas suffi. J'ai décidé de lire des matériaux du cours en cherchant tout qui soit utile et il s'est avéré qu'il y en a énormément et une fois de plus je suis tombé dans une panique que je ne puisse pas les trier.
    Après quelques jours dépressifs j'ai écrit le courriel à mon enseignante. Alors j'ai compris ce que m'énervait : le temps qu'il me faut passer sur rédiger la dissertation. Je suis très lente en ce qui concerne inventer les phrases et d'habitude il me prend une heure pour écrire 100 mots. Cela veut dire qu'il faut que je sois assis devant l'ordinateur par 30 heures environ avant d'envoyer mon devoir. Trop longtemps !
    Donc mon enseignante, elle m'a répondu qu'elle voudrait voir l'introduction avant jeudi et elle m'a aussi donné des dates auxquelles je doive lui présenter les paragraphes finis. Avec la grande réticence mais j'ai réussi à le faire. 27 heures restantes.
    Il y avait le tutorat jeudi. Il s'est avéré que les autres étudiants ont aussi beaucoup de problèmes. Tout cela parce qu'on ne nous a pas donné assez de renseignements sur les petits détails tels que la taille des fontes, la forme des références, le titre etc. Je ne le comprends pas. Quel enseignement est-ce si c'est à nous qu'il faut nous enseigner ?

Sunday 14 September 2014

Français : la trente-et-unième semaine

    Ces films que j'ai empruntés seront bons pour ma dissertation.
    Le premier c'est « En attendant le bonheur » d'Abderrahmane Sissako. Il s'agit du jeune garçon, Abdallah (Mohamed Mahmoud Ould Mohamed), qui rend visite à sa mère (Fatimetou Mint Ahmed) à Nouadhibou en Mauretanie avant d'aller en Europe. Tout est différent pour lui : le language (il ne parle que français tandis que les indigènes se servent du hassanya), les vêtements, les coutumes et il n'arrive pas à se trouver là. C'est donc la collision des cultures ce qui sera pour moi un bon argument pour la diversité culturelle en Francophonie.
    L'autre film c'est « Vers le sud » de Laurent Cantet. Il s'agit de trois vieilles Américaines qui sont allées à Haïti pour s'amuser avec les jeunes garçons locaux. Une d'elles, Brenda (Karen Young) tombe amoureuse avec Legba (Ménothy César) qui est à ce moment amant de l'autre, Ellen (Charlotte Rampling) donc il y a le conflit enforcé par le fait qu'il même a ses propres problèmes. Ce qui était intéressant c'était qu'on y parlait français et anglais et créole haïtien. C'est un autre exemple de la rencontre des cultures.
    Finalement j'ai trouvé dans une librairie le troisième film, « Entre les murs » aussi de Laurent Cantet. En fait dans le cours nous avons les extraits du livre du même titre sur la base de laquelle ce film a été tourné. L'auteur, Français Bégaudeau, y joue le rôle d'enseignant de la langue française. Je ne l'ai pas aimé. Il est l'incarnation d'un mauvais professeur qui essaie tout le temps de manifester sa souveraineté et s'engueule avec les élèves. Ce film m'a touché, je dois admettre. Je ne veux pas devenir tel bêcheur !

Français : la trentième semaine

    C'est trop, trop, trop ! Je ne réussis pas à gérer ma recherche. Il y a beaucoup d'articles à lire et cela me prend trop de temps ce qui me gêne. Je ne sais pas par quoi commencer. Alors il y a les texts dans le livre du cours, les transcripts de vidéos et d'enregistrements et sur le top tout cela que je puisse trouver sur l'Internet. Je ne sais pas quoi faire. Je veut dire que tout d'abord je n'ai pas encore l'image totale de ce qu'il me faut écrire donc je suis encore à l'étape de chercher « quelque chose d'utile ». Cela signifie qu'il est nécessaire que je lise tout et que je délibère sur la teneur en pensant sur sa commodité dans ma dissertation. Donc cela m'accable.
    En plus, je voudrais m'appuyer sur quelques œuvres artistiques francophones mais je n'en connais rien sauf deux ou trois exemples. Effectivement j'ai décidé que je me servirai avant tout des matériaux du cours pour qu'un examinateur comprenne mieux ce que je voudrais dire. Il semble qu'il faille que je relise tout ; je ne vois pas d'autre moyen. Cela sera pénible et laborieux...
    Heureusement j'ai eu l'idée brillante : je suis allé à la bibliothèque locale et j'y ai découvert pas mal de films français. J'en ai trouvé deux francophones. Je les regardai et j'espère qu'il y aura « quelque chose d'utile ».
    Enfin je pense qu'au lieu de commencer à écrire la dissertation je rédigerai une présentation pour mon examen oral. Ainsi je saurai de quoi parler.